Et si l’auteur du Deuxième sexe n’avait écrit cet ouvrage magistral qu’afin de plaire à un homme (certes philosophe mais homme tout de même) ? La condition féminine se résumerait-elle à l’inlassable quête du regard masculin ? Dès lors, que vaudrait une philosophie fondée sur une faille, un manque, une absence ?