Le corps de la peinture
Le Laboratoire EA
4010,
AIAC, Arts des Images & Art Contemporain,
Université Paris 8,
France
annonce
Écran
fable
substance
le
corps de la peinture
Mercredi
5 mai 2010
9h00-18h00
Passage
Colbert,
6 rue des Petits
Champs,
2 rue
Vivienne
Paris
75002
Salle Vasari, 1er
étage
Journée d’étude
organisée
par le
laboratoire AIAC Arts des images et art contemporain (EA
4010)
Organisé par Eric
Bonnet
Programme
9h
Eric Bonnet, Université Paris
VIII
Lignes-report de Jean Degottex. Produire des écrans
corporels
9h30
François Soulages
L’écran du
rêve
10
h Pierre-Damien Huyghe, Université Paris I
Panthéon-Sorbonne
Un art peu
manifeste
10h30 Christophe Viart
« D’après et après ».
La peinture en direct de Sarkis
11h00 Yves Schemoul,
artiste, Université de Provence
L’écran : la traversée
et l’entrelacs
11h30
Patrick
Nardin
Un cinéma en pièces
détachées
12h00
Céline Leturcq, ESBA Dunkerque, doctorante Paris
VIII
14h
Sergio
Rojas
La toile-écran : une
réflexion de “l'épuisement” de la
représentation
14h30 Marcel Lubac,
Directeur artistique de la Maison d’art contemporain Chaillioux, Fresnes
(94)
L’identité d’un
lieu
15h00
Raphaël Gomerieux, artiste, doctorant Université Paris
VIII
Corps eucharistique et
corps vampirique
Tentative de
fable autour de la peinture actuelle et
contemporaine
15h30 Philippe Baryga,
artiste, Université d’Artois, doctorant UVHC
Que cachent les
duos?
16h00 François Jeune
Sources, confluences et
résurgences. Fables de l'influence dans la Peinture
d'aujourd’hui
16h30 Débat et
conclusion
Écran,
fable, substance
Le
corps de la peinture
L’écran, considéré comme équivalent du
tableau ou du mur par Moholy-
Nagy,
constitue un lieu d’attente. Ecran et surface picturale sont autant
réceptacle
spatial
et matériel des opérations visuelles qu’espace mental qui fait naître l’image,
les
figures, les éléments et leur agencement.
Le spectateur apporte son corps dans un
espace
physique qui l’accueille malgré la frontalité. La
modifié
les conceptions de la surface picturale ? Comment le peintre repense-t-il
la
surface, le plan, le support, dans le
contexte des surfaces écraniques ? Originairement,
Alberti
décrit la surface du tableau « comme une peau tendue », plane, convexe
ou
concave. Cette surface est traversable
comme un voile. La modernité a oeuvré à
opacifier cette surface, allant jusqu’à
tenter d’oblitérer tout effet d’illusion, de
mouvement, assimilant surface, écran, fond.
De nombreux peintres actuels semblent
se
rapprocher de la position d’André Breton qui réclamait des écrans sur
lesquels
peuvent
s’écrire le rêve et le désir. Comment les peintres définissent-ils la surface
de
projection sur laquelle ils travaillent ?
Et quelles figures y projettent-ils, comment
écrivent-ils la mobilité, l’articulation
des figures qu’ils y déposent ?
Toute
surface produite par une gestuelle, ralentit la vision et installe
un
regard
lent, un arrêt, qui agit sur le corps du spectateur. Cet arrêt n’est pas de
même
nature
que l’arrêt photographique, il relève du mouvant et peut interroger
le
photographique et l’image-mouvement. Mais
la peinture peut-elle capter des fragments
de flux
vidéographiques ? De quelles histoires les peintres actuels peuplent-ils
leurs
écrans
? Quelles fables explicites ou sous-jacentes s’inscrivent-elles et de
quelles
substances ? Toute peinture invente et
fabrique son médium, définit un véhicule
permettant de peindre. Cette matière
vivante particulière que définit chaque peintre a
un
poids, une densité, elle résulte d’une alchimie et parfois également d’une fable
; elle
constitue une matière concrète et
imaginaire qui produit l’espace et les figures. Elle
est
le lieu
de l’autographique. Comment interroger ces matières actuelles de la peinture
?
Nous
souhaitons partir d’un doute, celui de l’actualité de la
peinture
aujourd’hui. Il est important de comprendre
les choix des artistes qui optent pour
d’autres médiums : pour mieux capter la vie
psychologique, sociale, politique, dans sa
complexité ; pour explorer la couleur et
les formes dans l’espace-temps… Mais
l’exercice de la peinture s’est-il déplacé,
est-il pour autant achevé ou achevable, si le
peintre
vit la peinture et son support comme une délégation de son propre corps,
mis
en
surface ?
Eric
Bonnet
Lignes-report de Jean Degottex, produire des écrans
corporels
Tout
l’œuvre de Jean Degottex est une méditation sur la surface picturale et sur
l’écran qu’elle constitue. D’abord réceptacle d’un signe écrit, puis, à partir
des années 70, production concrète et sérielle de réceptacles évidés et denses,
les tableaux de Degottex interrogent, dans un dialogue approfondi avec les arts
d’Extrême-Orient, les opérations d’instauration, les stratégies productives.
Seront abordées d’autres constructions d’écrans : œuvres de Ryman, Art &
Language, Barceló et Nadj.
François
Soulages
L’écran du
rêve
En
1946, dans « Sleep, the mouth and the dream screen », in the Psycho-analytic
Quaterly, 1946, XV, Lewin produit son fameux concept d’ « écran du rêve » :
chaque rêve se projetterait sur un écran blanc dont, en général, le rêveur ne se
rendrait pas compte de la présence ; cet écran blanc serait le symbole du sein
de la mère et renverrait non tant au sein réel qu’au sein halluciné par l’enfant
quand il rêve en dormant après avoir été nourri.
C’est
à partir de cette thèse que seront mises en œuvre des interrogations et des
hypothèses sur les images écraniques qui nourrissent l’art
contemporain.
Pierre-Damien
Huyghe
Un art peu
manifeste
Je
voudrais présenter rapidement quelques uns des arguments qui se trouvent dans
mes livres "Du commun" et "Modernes sans modernités" quant à la peinture comme
art contemporain de l'époque de la reproduction et de la diffusion. Ce
Christophe
Viart
« D’après et après ».
La peinture en direct de Sarkis
D’après Caspar David
Friedrich est le
titre donné à un ensemble de vidéos dans lesquelles Sarkis réalise des
aquarelles dans l’eau d’après des reproductions de tableaux du peintre
romantique allemand. L’analyse de ce travail mettant en scène la genèse de
l’oeuvre donnera l’occasion d’interroger les relations entre l‘acte de peindre
et l’acte de filmer. Il s’agira de montrer comment en peignant d’après un
modèle, le geste de Sarkis, loin d’être réductible au primat théorique de
l’intention, combine surface et profondeur, et engage plasticité et
regard.
Yves
Schemoul
L’écran : la traversée
et l’entrelacs
Le
travail personnel présenté, ETRUSQUE, résulte d’une suite d’opérations qui
produit un objet au statut sémiotique hybride : un écran. Une peinture au
vernis sur papier recto et verso est photographiée à contre-jour. Dans cette
phase de la procédure, le support-papier figure comme écran d’interposition à
la lumière mais aussi comme filtre qui permet à celle-ci en traversant les
parties vernies de s’inscrire photographiquement et de révéler l’épaisseur
pelliculaire d’une substance et d’un substrat entrelacés. Dès lors, cette
pratique envisage l’écran comme un véhicule, un médium, échangeur et
transformateur, propre à déplacer et interroger nombre d’enjeux plastiques dont
il s’agira de mesurer les implications à travers l’analyse de certaines œuvres
artistiques.
Patrick
Nardin
Un cinéma en pièces
détachées
Mon
travail s'organise autour des relations qui peuvent s'établir entre le film,
sous ses formes diverses, et la peinture. Il
Sergio
Rojas
La
toile-écran : une réflexion de “l'épuisement” de la représentation
Considérant la relation
entre la peinture et l'écran, j'expose l'idée que la peinture contemporaine est
une réflexion de leurs propres limites, quand ils montrent les ressources de
la représentation.
La la peinture.
L'artiste
Céline
Leturcq
Cinq
peintres contemporains vivant en France nous permettront d’aborder l’actualité
de la peinture.
Ces
Dans le
travail de Joël Kermarrec (né en 1939), l’image est en permanence renvoyée au
texte. Cette nécessité de se référer à l’iconographie participe d’un territoire
du déchet, où la mémoire est construite d’un matériau à l’autre, grâce à des
récurrences : des ardoises aux boîtes et aux peintures. La peinture de Jean
Laube (né en 1959) touche à l’ornementation et oscille entre ce qui nous
rassure, le savoir-faire et nous repousse, l’ingrat, le clôt, le faux-semblant.
Son intérêt pour les façades renvoie à l’espace intermédiaire de la Renaissance
en un jeu de marqueterie savant qui se délecte des « riens » de
l’atelier.
Nous
évoquerons aussi l’œuvre de Shirley Jaffe (née en 1923), où la surface de la
toile devient un lieu de doute et d’écho attentif aux changements de la peinture
dans la durée, lieu qui se libère peu à peu de l’abstraction américaine grâce à
la part laissée au blanc.
Alix
le Meleder (née en 1955) travaille en faisant pivoter la toile dans l’atelier,
toujours du même côté, à l’horizontale. Sa peinture, ascétique autant
qu’obsessionnelle, règle la question du corps dans le tableau de façon à
l’amenuiser de plus en plus et à en réduire la portée. Enfin
Raphaël
Gomerieux
Corps eucharistique et
corps vampirique
Tentative de fable autour de la peinture
actuelle et contemporaine
Au
prix d’efforts répétés, la peinture a su progressivement depuis l’antiquité
s’affirmer comme véritable parangon, faisant figure d’art majeur par ses
inventions, ses techniques, ses savoirs. L’assimilation par d’autres moyens
d’expression (sculpture, vitrail, tapisserie, gravure…) des substances faisant
le corps de la peinture, a eu pendant longtemps valeur d’eucharistie. Avec la révolution
industrielle et son lot de transformations, la peinture a été déchue de sa
position d’autorité. C’est elle qui, désormais, est assujettie au flux des
images d’origines variées ; indicielles comme
virtuelles.
Pourtant et au-delà d’un simple
renversement de situation, les productions picturales de certains artistes
actuels ne semblent pas prendre en compte ces nouvelles images tant pour leur
dimension d’efficace, mais bien au contraire, tout se passe comme si ces
peintres tentaient d’anesthésier
ou de dévitaliser le corps de ces
images.
Dès
lors, dans quelle mesure cette fable de la
peinture devenue
vampire, permet-elle d’interroger le corps pictural de manière
renouvelée, dans ses rapports au symbolique, à l’imaginaire et au
réel ?
Marcel
Lubac
L’identité d’un
lieu
Le
centre d’art dont je m’occupe se veut un lieu de prospection, de diffusion et de
production d’une actualité contemporaine, dont l’identité s’est construite sur
la peinture fortement représentée, sans pour autant renier les autres médiums.
Qu’elle soit de l’ordre d’une défense de jeunes artistes dont la réflexion est
au centre des problématiques de la peinture mais aussi d’artistes plus reconnus
qui nous montrent que ce médium ne cesse de se réactiver dans leurs travaux
actuels.
La
position de la Macc part d’un constat : dans les lieux de diffusion qui
correspondent au nôtre, la peinture a été et continue de n’être que peu
représentée. Il s’agit bien plus pour certains lieux d’utiliser le multimédia et
d’offrir des expositions à caractère spectaculaire, montrant davantage un
dispositif de production lié à la vidéo, à la multiplicité de l’image, au
travail avec le son. Pour nous, l’important consiste à offrir une autre
perspective sur l’actualité de l’art contemporain autour de certains outils qui
interrogent la peinture, par rapport à un système d’images lié à l’architecture,
à l’urbain, au cinéma, à la bande dessinée, au fait divers, à tout ce qui touche
à cette surabondance de l’image qui aujourd’hui rappelle nos
déplacements.
Philippe
Baryga
Que cachent les
duos?
En
Flandres au XVIIe siècle, s'il est routinier de peindre un tableau à plusieurs,
le statut de peintre de spécialités semble définir les rôles de chacun d'une
manière indiscutable.
Des
stratégies individuelles se font jour, cependant, dévoilant des enjeux de
domination, voire de prédation. La collaboration devient antagonisme; cette
composante comportementale redouble le thème pictural du conflit, de
l'altérité.
Rubens
et Snyders à Anvers en 1610 ; Dieter Roth et Richard Hamilton à Cadaquès en
1976: ces duos picturaux célèbres projettent sur l'écran du tableau la question
de l'effacement ou de l'affirmation de l'individu.
François
Jeune
Sources, confluences et
résurgences
Fables
de l'influence dans la Peinture d'aujourd’hui
L'écran de la peinture n'est-il pas aussi
celui de la fable de nos influences qui envahissent la surface à peindre ? Les
pratiques photographiques, vidéographiques, infographiques nous montrent une
image projetée sur un écran, mais la peinture au XXème siècle a abandonné cette
projection, pour revenir aux origines préhistoriques de la peinture où l'image
est comme révélée par le support, objet d'une apparition, d'une
épiphanie.
Dans
ce mode apparitionnel de la peinture, Gilles Deleuze ne dit-il pas dans sa
Logique de la sensation sur Bacon
que : « C'est une erreur de croire que le peintre soit devant une surface
blanche … tout ce qu'il a dans la tête ou autour de lui est déjà dans la toile,
plus ou moins virtuellement, plus ou moins actuellement, avant qu'il commence
son travail… si bien que le peintre n'a pas à remplir une surface blanche, il
aurait plutôt à vider, désencombrer, nettoyer. » Ne devons-nous pas en effet,
vider, désencombrer, nettoyer l'écran pictural de toutes nos projections déjà-là
? Au travers de quelques exemples choisis dans ma pratique de Peintures sur peinture ou chez quelques
autres peintres actuels, je vais m'attacher à démêler les fils de l'influence,
pour en montrer les nouveaux modes -actifs ou passifs- analysables aujourd'hui
sous forme d'interactions et de transferts.
Sources
seraient alors
les références apportées consciemment avant l'élaboration du tableau. Convergences sont les influences
décelables, après l'instauration, dans un procès de réception et surtout
Résurgences seront les
interactions à l'oeuvre d'une manière souterraine, inconsciente pendant le
travail ! Ces Résurgences ne
sont-elles pas conjonction de la projection et de l'apparition dans un
surgissement gestuel et coloré ?
28 LIVRES publiés
DEPUIS OCTOBRE 2008 par les membres d’AIAC
Roberto
Barbanti, Les origines des arts
multimedia, Nîmes, Lucie éditions, 2009
Sous la
direction de Roberto Barbanti et Pierre Mariétan, Revue Sonorités n° 3, Le faire et la réflexion, Nîmes, Champ social éditions,
2008
Sous la
direction de Roberto Barbanti et Pierre Mariétan, Revue Sonorités n° 4, Pédagogies, Nîmes, Champ social éditions,
2009
Jean-Louis
Boissier
Pascal
Bonafoux
Pascal
Bonafoux
Pascal
Bonafoux
Pascal
Bonafoux
Pascal
Bonafoux
Sous la
direction de Daniel
Danétis
Sous la
direction d’Eric Bonnet, Le Voyage
créateur, Paris, L’Harmattan, coll. Eidos, Série RETINA
Michelle
Debat
Jérôme
Glicenstein, L’art : une histoire
d’expositions, Paris, PUF, 2009
Marges,
numéro 08, L
Marges,
numéro 09, Irresponsabilité de
l’art, janvier 2010
Sous la
direction de Soko
Phay-Vakalis
Sous la
direction de Paul-Louis
Rinuy
François
Soulages
Sous la
direction de François
Soulages
Sous la
direction de François
Soulages
François
Soulages
Sous la
direction de François
Soulages
Sous la
direction de François
Soulages Gilles Rouet
Sous la
direction de François
Soulages Alexis Lussier
Sous la
direction de François
Soulages Alberto Olivieri
Sous la
direction de François
Soulages Julia Nyikos
François
Soulages
François
Soulages
FUTURES
recherche
10 juin 2010,
Journée d’étude Autour de
Morse : reproduction et
transport, salle Walter Benjamin, INHA, Paris, organisée par Jean-Philippe Antoine
Mi-novembre
2010, 7° colloque international d’esthétique de Bahia, La localisation contemporaine, Université
fédérale de Bahia, Salvador, Brésil, dirigé par François
Soulages
Automne 2011,
Colloque international Histoire(s) de
sculpture (Paris 8, Paris X, INHA, Centre
Pompidou) organisé par
Paul-Louis
Rinuy
43 recherche
30 Mars 2010,
Colloque Pratiques contemporaines de la
couleur, INHA, Paris, organisé par François
Jeune
27-30 mars 2010,
Séminaire
Photographie-contemporaine &
art-contemporain de François Soulages
25 mars,
Le paysage
contemporain organisée par François Soulages
24-31 mars 2010, Cycle de réflexion
Art contemporain & images
contemporaines, de François Soulages
22 mars 2010,
3° Journée d’étude « A partir de », L’art
& les arts. Peinture, sculpture, architecture, urbanisme. A partir de
Philippe
Cardinali François
Soulages
19 Février
2010, Journée d'étude, Exposition sans
artiste(s), INHA, Paris, organisée par la revue Marges
15 février
2010, Journée
d’étude La vie. Entre
Bio-souci François
Soulages
A partir du 2
février 2010, Cycle de réflexion, L’image,
entre violence & création, L’Harmattan, 21 bis, rue des Ecoles,
Paris, organisé par François Soulages
Depuis
février 2010, Cycle “Le travail du cinéma”, Université Paris 8, organisé par
Maren Köpp
Du 16 au 22
janvier 2010, Rétrospective des 25 ans d'Arts et Technologies de l'Image, à
l'occasion des 40 ans de l'université Paris 8. Colloque, 16 janvier 2010.
EXPOSITION. Journée des doctorants de l’INREV, 21 janvier, organisés
collégialement par les membres du Laboratoire Image Numérique et Réalité
Virtuelle de l’EA 4010, AIAC
13 janvier
2010, Journée
d’étude Expérience de
paysages(s), Ecole supérieure d’arts de Rueil-Malmaison, organisée
par Roberto
Barbanti
16 décembre
2009, Journée
d’étude Paysage & identité,
Ecole supérieur d’arts de Rueil-Malmaison, organisée par Roberto Barbanti,
Philippe
Nys
30 novembre –
1 décembre 2009, Colloque Sainte Face,
visages du Christ, visages de Dieu dans l’art contemporain, XIXe-XXIe
siècle, INHA, Paris, organisé par Paul-Louis Rinuy
20 novembre
2009, Journée d’étude, La photographie mise
en espace, la mise en espace de la photographie, MAC/VAL,
Vitry-sur-Seine, organisée par Michelle Debat Paul-Louis
Roubert
19 novembre
2009, Journée d'étude Préhistoire et art
contemporain, salle Vasari, INHA, Paris, organisée par
François
Jeune
10-11
novembre 2009, Colloque international Photographie & corps politiques, 10,
Chili, Université de Santiago, Chili, organisé par François Soulages
A partir du 2
novembre 2009, tous les 1° lundis du mois, séminaire mensuel La mort, le mort, la morte & la
photographie, salle Vasari, INHA, Paris, organisé par François
Soulages
A partir du
20 octobre 2009, tous les mois, Café Philo
Images & corps, Café du Pont-Neuf, 14, quai du Louvre, Paris,
coorganisé par François
Soulages Vladimir Mitz Rami
Selinger
A partir du
16 octobre 2009, Séminaire Le portrait
surréaliste dirigé par Françoise Py
À partir du
14 octobre 2009, un mercredi sur deux, Observatoire des nouveaux médias, cycle de
conférences, à l’ENSAD, Amphi Rodin, 31 rue d’Ulm, Paris, http://www.arpla.fr/odnm/, organisé par
Jean-Louis
Boissier Manuela De Barros Liliane
Terrier
14-20 octobre
2009, 40 ans de cinéma à Paris 8,
Saint-Denis, coorganisé par Dominique Villain & Jean-Paul
Aubert
Depuis
octobre 2009, Images matérielles et images
mentales, séminaire sur l’image organisé Bernard
Gerboud
25-6
septembre 2009, Colloque international Photography, Capitalism, Medias, 2,
Artsonje, Séoul, Corée, coorganisé par François Soulages
1-8 septembre
2009, Colloque International Architecture et
littérature : une interaction en question, XXe-XXIe siècles, Centre
Culturel International de Cerisy-la-Salle, organisé par Antoine Leygonie
26 juin 2009,
Journée d'étude, Valeur(s) de l'art.
Exposition, économie, usage, INHA, Paris, organisée par la revue Marges.
15 juin 2009,
Journée d’études Art et transmission : les
secrets d’ateliers aux XXe et XXIe siècles,
INHA, Paris, organisée par Paul-Louis Rinuy
1-5 juin
2009, 6° colloque international d’esthétique de Bahia, Le sensible contemporain, Université
fédérale de Bahia, Salvador, Brésil, dirigé par François
Soulages
28-29
mai, Séminaire
Culture François
Soulages
28 mai 2009,
Journée d’étude Inventer-créer entre
sciences et art, à l’ESPCI, organisée par Daniel Danétis
19 mai 2009,
Journée d'étude, Déplacement et
mémoire, http://www.arpla.fr/canal20/ednm/,
coordination
par Jean-Louis
11 mai 2009,
Journée d’étude Photographie, médias &
capitalisme, INHA, Paris, organisée par François Soulages
3-4 avril
2009, Rencontres Architecture Musique
Ecologie. Pour une écologie du sonore à l’occasion de la sortie du n°
3 de la Revue Sonorités Roberto
Barbanti
30 mars 2009,
Journée d’étude Sur la photographie
contemporaine. A partir de Marc Tamisier François
Soulages
24
mars 2009, Dialogue, INHA,
Paris, entre Alain Kirili et
Paul-Louis
Rinuy
2-6 février
2009, Workshop Mémoire, oubli et
transmission, Centre de ressources audiovisuelles Bophana, Phnom
Penh, Cambodge, sous la responsabilité de Soko
Phay-Vakalis
15-17 janvier
2009, Colloque
international Les espaces
déterritorialisés, à la Société Française Antoine
Leygonie
2 décembre
2008, Journée
d'étude, Déplacements des pratiques
artistiques, INHA, Paris, organisée par Jérôme
Glicenstein
19, 26
novembre et 3 décembre 2008, Colloque & exposition, Formes de la mobilité. Mobilisable Jean-Louis Boissier Liliane
Terrier
19 novembre
2008, 20° Dialogue, Tzvetan
Todorov, la Mep, Paris, organisée par François
Soulages
3 & 4
novembre 2008, Colloque international, Portait anonyme, INHA, Paris, organisé par
Pascal
Bonafoux François
Soulages
24 octobre
2008, Colloque, Indice et Index,
la Mep, Paris, organisé par Bernard
Gerboud
20 octobre
2008, Journée d’étude, Etienne-Martin
aujourd’hui, INHA, Paris, organisée par Paul-Louis
Rinuy
Depuis
octobre 2008, un mercredi sur deux, Observatoire des nouveaux médias, cycle de
conférences, à l’ENSAD, Amphi Rodin, 31, rue d’Ulm, Paris, organisé par
Jean-Louis
Boissier