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21 avril 2010

Le corps de la peinture

Le Laboratoire EA 4010,

AIAC, Arts des Images & Art Contemporain,

Université Paris 8, France

annonce

 

 

Écran

fable

substance

le corps de la peinture

Mercredi 5 mai 2010

9h00-18h00

Passage Colbert,

6 rue des Petits Champs,

2 rue Vivienne

Paris 75002

Salle Vasari, 1er étage

 

Journée d’étude organisée

par le laboratoire AIAC Arts des images et art contemporain (EA 4010)

Organisé par Eric Bonnet

 

Programme

 

9h                       Eric Bonnet, Université Paris VIII

Lignes-report de Jean Degottex. Produire des écrans corporels

 

9h30                   

François Soulages

, Université Paris VIII

L’écran du rêve

 

10 h                    Pierre-Damien Huyghe, Université Paris I Panthéon-Sorbonne

Un art peu manifeste

 

10h30                

Christophe Viart

, artiste, Université Rennes II

« D’après et après ». La peinture en direct de Sarkis

 

11h00                 Yves Schemoul, artiste, Université de Provence

L’écran : la traversée et l’entrelacs

 

11h30                

Patrick Nardin

, artiste, Université Paris VIII

Un cinéma en pièces détachées

 

12h00                 Céline Leturcq, ESBA Dunkerque, doctorante Paris VIII

Tableau, la fabrique de l’œuvre

 

14h                    

Sergio Rojas

, Université du Chili

La toile-écran : une réflexion de “l'épuisement” de la représentation

 

14h30                 Marcel Lubac, Directeur artistique de la Maison d’art contemporain Chaillioux,  Fresnes (94)

L’identité d’un lieu

 

15h00                 Raphaël Gomerieux, artiste, doctorant Université Paris VIII

Corps eucharistique et corps vampirique

Tentative de fable autour de la peinture actuelle et contemporaine

 

15h30                 Philippe Baryga, artiste, Université d’Artois, doctorant UVHC

Que cachent les duos?

 

16h00                

François Jeune

, artiste, Université Paris VIII

Sources, confluences et résurgences. Fables de l'influence dans la Peinture d'aujourd’hui

 

16h30                 Débat et conclusion

 

 

Écran, fable, substance

Le corps de la peinture

L’écran, considéré comme équivalent du tableau ou du mur par Moholy-

Nagy, constitue un lieu d’attente. Ecran et surface picturale sont autant réceptacle

spatial et matériel des opérations visuelles qu’espace mental qui fait naître l’image, les

figures, les éléments et leur agencement. Le spectateur apporte son corps dans un

espace physique qui l’accueille malgré

la frontalité. La

généralisation des écrans a-t-elle

modifié les conceptions de la surface picturale ? Comment le peintre repense-t-il la

surface, le plan, le support, dans le contexte des surfaces écraniques ? Originairement,

Alberti décrit la surface du tableau « comme une peau tendue », plane, convexe ou

concave. Cette surface est traversable comme un voile. La modernité a oeuvré à

opacifier cette surface, allant jusqu’à tenter d’oblitérer tout effet d’illusion, de

mouvement, assimilant surface, écran, fond. De nombreux peintres actuels semblent

se rapprocher de la position d’André Breton qui réclamait des écrans sur lesquels

peuvent s’écrire le rêve et le désir. Comment les peintres définissent-ils la surface de

projection sur laquelle ils travaillent ? Et quelles figures y projettent-ils, comment

écrivent-ils la mobilité, l’articulation des figures qu’ils y déposent ?

Toute surface produite par une gestuelle, ralentit la vision et installe un

regard lent, un arrêt, qui agit sur le corps du spectateur. Cet arrêt n’est pas de même

nature que l’arrêt photographique, il relève du mouvant et peut interroger le

photographique et l’image-mouvement. Mais la peinture peut-elle capter des fragments

de flux vidéographiques ? De quelles histoires les peintres actuels peuplent-ils leurs

écrans ? Quelles fables explicites ou sous-jacentes s’inscrivent-elles et de quelles

substances ? Toute peinture invente et fabrique son médium, définit un véhicule

permettant de peindre. Cette matière vivante particulière que définit chaque peintre a

un poids, une densité, elle résulte d’une alchimie et parfois également d’une fable ; elle

constitue une matière concrète et imaginaire qui produit l’espace et les figures. Elle est

le lieu de l’autographique. Comment interroger ces matières actuelles de la peinture ?

Nous souhaitons partir d’un doute, celui de l’actualité de la peinture

aujourd’hui. Il est important de comprendre les choix des artistes qui optent pour

d’autres médiums : pour mieux capter la vie psychologique, sociale, politique, dans sa

complexité ; pour explorer la couleur et les formes dans l’espace-temps… Mais

l’exercice de la peinture s’est-il déplacé, est-il pour autant achevé ou achevable, si le

peintre vit la peinture et son support comme une délégation de son propre corps, mis

en surface ?

 

Eric Bonnet

Lignes-report de Jean Degottex, produire des écrans corporels

Tout l’œuvre de Jean Degottex est une méditation sur la surface picturale et sur l’écran qu’elle constitue. D’abord réceptacle d’un signe écrit, puis, à partir des années 70, production concrète et sérielle de réceptacles évidés et denses, les tableaux de Degottex interrogent, dans un dialogue approfondi avec les arts d’Extrême-Orient, les opérations d’instauration, les stratégies productives. Seront abordées d’autres constructions d’écrans  : œuvres de Ryman, Art & Language, Barceló et Nadj.

 

François Soulages

L’écran du rêve

En 1946, dans « Sleep, the mouth and the dream screen », in the Psycho-analytic Quaterly, 1946, XV, Lewin produit son fameux concept d’ « écran du rêve » : chaque rêve se projetterait sur un écran blanc dont, en général, le rêveur ne se rendrait pas compte de la présence ; cet écran blanc serait le symbole du sein de la mère et renverrait non tant au sein réel qu’au sein halluciné par l’enfant quand il rêve en dormant après avoir été nourri.

C’est à partir de cette thèse que seront mises en œuvre des interrogations et des hypothèses sur les images écraniques qui nourrissent l’art contemporain.

 

Pierre-Damien Huyghe

Un art peu manifeste

Je voudrais présenter rapidement quelques uns des arguments qui se trouvent dans mes livres "Du commun" et "Modernes sans modernités" quant à la peinture comme art contemporain de l'époque de la reproduction et de

la diffusion. Ce

que soutient et entretient pour l'essentiel l'activité des peintres depuis  les modernes, c'est l'idée d'un art non demandé, non exigé, libre par  conséquent. Les corrélas de cette liberté, ce sont d'une part une certaine  absence du style et du manifeste artistique, d'autre part une certaine distance à l'égard des phénomènes désormais courants de l'audience. Cette  absence et cette distance se lient à une valeur de l'insignifiance. Je  tâcherai d'expliquer l'intérêt de cette valeur paradoxale

 

Christophe Viart

« D’après et après ». La peinture en direct de Sarkis

D’après Caspar David Friedrich est le titre donné à un ensemble de  vidéos dans lesquelles Sarkis réalise des aquarelles dans l’eau   d’après des reproductions de tableaux du peintre romantique allemand.   L’analyse de ce travail mettant en scène la genèse de l’oeuvre donnera   l’occasion d’interroger les relations entre l‘acte de peindre et   l’acte de filmer. Il s’agira de montrer comment en peignant d’après un    modèle, le geste de Sarkis, loin d’être réductible au primat théorique   de l’intention, combine surface et profondeur, et engage plasticité et  regard.

 

Yves Schemoul

L’écran : la traversée et l’entrelacs

Le travail personnel présenté, ETRUSQUE, résulte d’une suite d’opérations qui produit un objet au statut sémiotique hybride : un écran. Une  peinture au vernis sur papier recto et verso est photographiée à contre-jour. Dans cette phase de la procédure, le support-papier figure comme  écran d’interposition à la lumière mais aussi comme filtre qui permet à celle-ci en traversant les parties vernies de s’inscrire  photographiquement et de révéler l’épaisseur pelliculaire d’une substance et d’un substrat entrelacés. Dès lors, cette pratique envisage l’écran  comme un véhicule, un médium, échangeur et transformateur, propre à déplacer et interroger nombre d’enjeux plastiques dont il s’agira de  mesurer les implications à travers l’analyse de certaines œuvres artistiques.

 

Patrick Nardin

Un cinéma en pièces détachées

Mon travail s'organise autour des relations qui peuvent s'établir entre le film, sous ses formes diverses, et

la peinture. Il

ne s'agit pas d'engager une fois encore une réflexion sur ce qu'il est convenu d'appeler le plan-tableau au cinéma, mais plutôt d'entreprendre un déplacement de méthodes d'inspiration plastique dans un nouveau champ d'expérience. Au subjectile comme vecteur d'expression se substitue ici une pratique de la projection, avec toutes les conséquences liées à la dématérialisation des surfaces devant en découler ; cela ne signifie pas que les projections n'appartiennent à aucun site (ou n'en déterminent aucun), ni que les écrans soient des espaces de réception dépourvus de toute substance. La question des intersections apparaît constamment, entre cinéma, peinture, vidéo, dessin, sculpture, son, numérique... A partir de la présentation de quelques oeuvres courtes, dont Boum (2004), vidéo explosive, et Racing (2007), course automobile ininterrompue, je commenterai les principales motivations d'une telle démarche.

 

Sergio Rojas

La toile-écran : une réflexion de “l'épuisement” de la représentation

Considérant la relation entre la peinture et l'écran, j'expose l'idée que la peinture contemporaine est une réflexion de leurs propres limites, quand ils montrent les ressources de

la représentation. La

peinture contemporaine reflète, dans la toile, “l'épuisement” de

la peinture. L'artiste

“projette” une image sur la toile, comme s'il s'agissait d'un écran. Je montre quelques images de la peinture contemporaine chilienne.

 

Céline Leturcq

Tableau, la fabrique de l’œuvre

Cinq peintres contemporains vivant en France nous permettront  d’aborder l’actualité de

la peinture. Ces

artistes sont de génération différente et pas nécessairement reconnus du monde de l’art. Loin de renier l’héritage moderniste voire post-moderne, leurs œuvres témoignent d’une pratique picturale à l’intérieur de laquelle l’atelier, le quotidien et la vie s’immiscent. D’aucuns affirmeront pratiquer une peinture abstraite.

Dans le travail de Joël Kermarrec (né en 1939), l’image est en permanence renvoyée au texte. Cette nécessité de se référer à l’iconographie participe d’un territoire du déchet, où la mémoire est construite d’un matériau à l’autre, grâce à des récurrences : des ardoises aux boîtes et aux peintures. La peinture de Jean Laube (né en 1959) touche à l’ornementation et oscille entre ce qui nous rassure, le savoir-faire et nous repousse, l’ingrat, le clôt, le faux-semblant. Son intérêt pour les façades renvoie à l’espace intermédiaire de la Renaissance en un jeu de marqueterie savant qui se délecte des « riens » de l’atelier.

Nous évoquerons aussi l’œuvre de Shirley Jaffe (née en 1923), où la surface de la toile devient un lieu de doute et d’écho attentif aux changements de la peinture dans la durée, lieu qui se libère peu à peu de l’abstraction américaine grâce à la part laissée au blanc.

Alix le Meleder (née en 1955) travaille en faisant pivoter la toile dans l’atelier, toujours du même côté, à l’horizontale. Sa peinture, ascétique autant qu’obsessionnelle, règle la question du corps dans le tableau de façon à l’amenuiser de plus en plus et à en réduire

la portée. Enfin

, nous aborderons l’œuvre de Dominique Liquois (née en 1957), qui s’appuie sur une extension de la peinture par une association du dedans et du dehors. Son travail ne devient pas sculpture malgré les turgescences cousues, lecture possible d’une mutation. Il renvoie à un espace plus habituel que le cadre du tableau : celui de la maison.

 

Raphaël Gomerieux

Corps eucharistique et corps vampirique

Tentative de fable autour de la peinture actuelle et contemporaine

 

Au prix d’efforts répétés, la peinture a su progressivement depuis l’antiquité s’affirmer comme véritable parangon, faisant figure d’art majeur par ses inventions, ses techniques, ses savoirs. L’assimilation par d’autres moyens d’expression (sculpture, vitrail, tapisserie, gravure…) des substances faisant le corps de la peinture, a eu pendant longtemps valeur d’eucharistie. Avec la révolution industrielle et son lot de transformations, la peinture a été déchue de sa position d’autorité. C’est elle qui, désormais, est assujettie au flux des images d’origines variées ; indicielles comme virtuelles.

Pourtant et au-delà d’un simple renversement de situation, les productions picturales de certains artistes actuels ne semblent pas prendre en compte ces nouvelles images tant pour leur dimension d’efficace, mais bien au contraire, tout se passe comme si ces peintres tentaient d’anesthésier ou de dévitaliser le corps de ces images.

Dès lors, dans quelle mesure cette fable de la peinture devenue vampire, permet-elle d’interroger le corps pictural de manière renouvelée, dans ses rapports au symbolique, à l’imaginaire et au réel ?

 

Marcel Lubac

L’identité d’un lieu

Le centre d’art dont je m’occupe se veut un lieu de prospection, de diffusion et de production d’une actualité contemporaine, dont l’identité s’est construite sur la peinture fortement représentée, sans pour autant renier les autres médiums. Qu’elle soit de l’ordre d’une défense de jeunes artistes dont la réflexion est au centre des problématiques de la peinture mais aussi d’artistes plus reconnus qui nous montrent que ce médium ne cesse de se réactiver dans leurs travaux actuels.

La position de la Macc part d’un constat : dans les lieux de diffusion qui correspondent au nôtre, la peinture a été et continue de n’être que peu représentée. Il s’agit bien plus pour certains lieux d’utiliser le multimédia et d’offrir des expositions à caractère spectaculaire, montrant davantage un dispositif de production lié à la vidéo, à la multiplicité de l’image, au travail avec le son. Pour nous, l’important consiste à offrir une autre perspective sur l’actualité de l’art contemporain autour de certains outils qui interrogent la peinture, par rapport à un système d’images lié à l’architecture, à l’urbain, au cinéma, à la bande dessinée, au fait divers, à tout ce qui touche à cette surabondance de l’image qui aujourd’hui rappelle nos déplacements.

 

Philippe Baryga

Que cachent les duos?

En Flandres au XVIIe siècle, s'il est routinier de peindre un tableau à plusieurs, le statut de peintre de spécialités semble définir les rôles de chacun d'une manière indiscutable.

Des stratégies individuelles se font jour, cependant, dévoilant des enjeux de domination, voire de prédation. La collaboration devient antagonisme;  cette composante comportementale redouble le thème pictural du conflit, de l'altérité.

Rubens et Snyders à Anvers en 1610 ; Dieter Roth et Richard Hamilton à Cadaquès en 1976: ces duos picturaux célèbres projettent sur l'écran du tableau la question de l'effacement ou de l'affirmation de l'individu.

 

François Jeune

Sources, confluences et résurgences

Fables de l'influence dans la Peinture d'aujourd’hui

L'écran de la peinture n'est-il pas aussi celui de la fable de nos influences qui envahissent la surface à peindre ? Les pratiques photographiques, vidéographiques, infographiques nous montrent une image  projetée sur un écran, mais la peinture au XXème siècle a abandonné cette projection, pour revenir aux origines préhistoriques de la peinture où l'image est comme révélée par le support, objet d'une apparition, d'une épiphanie.

Dans ce mode apparitionnel de la peinture, Gilles Deleuze ne dit-il pas dans sa Logique de la sensation sur Bacon que : «  C'est une erreur de croire que le peintre soit devant une surface blanche … tout ce qu'il a dans la tête ou autour de lui est déjà dans la toile, plus ou moins virtuellement, plus ou moins actuellement, avant qu'il commence son travail… si bien que le peintre n'a pas à remplir une surface blanche, il aurait plutôt à vider, désencombrer, nettoyer. » Ne devons-nous pas en effet, vider, désencombrer, nettoyer l'écran pictural de toutes nos projections déjà-là ? Au travers de quelques exemples choisis dans ma pratique de Peintures sur peinture ou chez quelques autres peintres actuels, je vais m'attacher à démêler les fils de l'influence, pour en montrer les nouveaux modes -actifs ou passifs- analysables aujourd'hui sous forme d'interactions et de transferts.

Sources seraient alors les références apportées consciemment avant l'élaboration du tableau. Convergences sont les influences décelables, après l'instauration, dans un procès de réception et surtout Résurgences seront les interactions à l'oeuvre d'une manière souterraine, inconsciente pendant le travail ! Ces Résurgences ne sont-elles pas conjonction de la projection et de l'apparition dans un surgissement gestuel et coloré ?

 

 

28 LIVRES  publiés DEPUIS OCTOBRE 2008 par les membres d’AIAC

Roberto Barbanti, Les origines des arts multimedia, Nîmes, Lucie éditions, 2009

Sous la direction de Roberto Barbanti et Pierre Mariétan, Revue Sonorités n° 3, Le faire et la réflexion, Nîmes, Champ social éditions, 2008

Sous la direction de Roberto Barbanti et Pierre Mariétan, Revue Sonorités n° 4, Pédagogies, Nîmes, Champ social éditions, 2009

Jean-Louis Boissier

, La Relation comme forme, Dijon, Presses du réel, 2008

Pascal Bonafoux

, Renoir, Paris, éd. Perrin, 2009

Pascal Bonafoux

, Les Coulisses de Versailles, Paris, Le Chêne, 2009

Pascal Bonafoux

, L’impressionnisme, De Vive Voix, CD, Paris 2009

Pascal Bonafoux

, Correspondances impressionnistes, Paris, éd. Diane de Selliers, 2008

Pascal Bonafoux

, Les Coulisses du Louvre, Le Chêne, Paris, 2008

Sous la direction de

Daniel Danétis

& d'Ivan Toulouse, Eurêka le moment de l'invention : un dialogue entre art et science, Paris, L'Harmattan, coll. Art8, 2008

Sous la direction d’Eric Bonnet, Le Voyage créateur, Paris, L’Harmattan, coll. Eidos, Série

RETINA

, 2010

Michelle Debat

, L’impossible image. Photographie, danse, chorégraphie, Bruxelles, La Lettre volée, coll. Essais, 2009

Jérôme Glicenstein, L’art : une histoire d’expositions, Paris, PUF, 2009

Marges, numéro

08, L

'Art à l'heure de la société de services, automne/hiver 2008

Marges, numéro 09, Irresponsabilité de l’art, janvier 2010

Sous la direction de

Soko Phay-Vakalis

, Miroir, appareils & autres dispositifs, Paris, L’Harmattan, coll. Esthétiques, 2008

Sous la direction de

Paul-Louis Rinuy

& d'Antoinette Le Normand Romain, le n° spécial de la Revue de l'art, Sculpture des XIXe et XXe siècles,  n° 162/2008-4

François Soulages

, Estetica da fotografia. Perda e permanência, Sao Paulo, Senac, 2010

Sous la direction de

François Soulages

, Young-Jun Lee & Julien Verhaeghe, Photography, Media, Capitalism 2, Séoul, K-SAD, 2009

Sous la direction de

François Soulages

& Julien Verhaeghe, Photographie, médias & capitalisme (1), Paris, L’Harmattan, Coll. Eidos, Série Photographie, 2009.

François Soulages

, Vera Chaves Barcellos, obras imcompletas, Porto Alegre, Editora Kouk, 2009

Sous la direction de

François Soulages

, Photographie & contemporain. A partir de Tamisier, Paris, L’Harmattan, coll. Eidos, Série Photographie, 2009

Sous la direction de

François Soulages

&

Gilles Rouet

, Du Printemps de Prague à la Chute du Mur de Berlin. Photographie & politique, Photographie & corps politiques 5, Slovaquie, Paris, Klincksieck, coll. L’image & les images, 2009

Sous la direction de

François Soulages

&

Alexis Lussier

, Corps photographiques / corps politique. Photographie & corps politiques 4, Canada, Chicoutimi, Protée, 2009

Sous la direction de

François Soulages

, Ricardo Biriba &

Alberto Olivieri

, Imagem da Cidade e Corpo Politico. Photographie & corps politiques 3, Bahia, Brésil, Salvador, Cultura visual, 2008

Sous la direction de

François Soulages

&

Julia Nyikos

, Fotografia es politikai test. Photographie & corps politiques 2, Hongrie, Budapest, Magyar Lettre Internationale, 2008

François Soulages

& Christine Buci-Glucksmann, Une femme philosophe, Paris, Klincksieck, coll. Les Rencontres de la mep, 2008

François Soulages

, Estetika fotografije, Belgrade, Kulturni Centar Beograda, 2008

 

FUTURES

recherche

s PUBLIQUES organisées par les membres d’AIAC

10 juin 2010, Journée d’étude Autour de Morse : reproduction et transport, salle Walter Benjamin, INHA, Paris, organisée par

Jean-Philippe Antoine

Mi-novembre 2010, 7° colloque international d’esthétique de Bahia, La localisation contemporaine, Université fédérale de Bahia, Salvador, Brésil, dirigé par

François Soulages

Automne 2011, Colloque international Histoire(s) de sculpture (Paris 8, Paris X, INHA, Centre Pompidou) organisé par

Paul-Louis Rinuy

 

43

recherche

s  PUBLIQUES organisées par les membres d’AIAC, DEPUIS OCTOBRE 2008

30 Mars 2010, Colloque Pratiques contemporaines de la couleur,  INHA, Paris, organisé par

François Jeune

27-30 mars 2010, Séminaire Photographie-contemporaine & art-contemporain de

François Soulages

, Centre des Arts de l´Université de l’Etat de Santa Catarina, UDESC, Florianópolis, Brésil

25 mars, Le paysage contemporain organisée par

François Soulages

(livre à paraître), Universidade Federal do Rio Grande do Sul, Porto Alegre, Brésil

24-31 mars 2010, Cycle de réflexion Art contemporain & images contemporaines, de

François Soulages

, Universités de Porto Alegre, Florianópolis & Sao Paulo (Brésil)

22 mars 2010, 3° Journée d’étude « A partir de », L’art & les arts. Peinture, sculpture, architecture, urbanisme. A partir de

Philippe Cardinali

, INHA, Paris, organisée par

François Soulages

19 Février 2010, Journée d'étude, Exposition sans artiste(s), INHA, Paris, organisée par

la revue Marges

15 février 2010, Journée d’étude

La vie. Entre

Bio-souci

, bio-pouvoir & bio-logie, INHA, Paris, organisée par

François Soulages

A partir du 2 février 2010, Cycle de réflexion, L’image, entre violence & création, L’Harmattan, 21 bis, rue des Ecoles, Paris, organisé par

François Soulages

Depuis février 2010, Cycle “Le travail du cinéma”, Université Paris 8, organisé par

Maren Köpp

& Dominique Villain

Du 16 au 22 janvier 2010, Rétrospective des 25 ans d'Arts et Technologies de l'Image, à l'occasion des 40 ans de l'université Paris 8. Colloque, 16 janvier 2010. EXPOSITION. Journée des doctorants de l’INREV, 21 janvier, organisés collégialement par les membres du Laboratoire Image Numérique et Réalité Virtuelle de l’EA 4010, AIAC

13 janvier 2010, Journée d’étude Expérience de paysages(s), Ecole supérieure d’arts de Rueil-Malmaison, organisée par

Roberto Barbanti

 

16 décembre 2009, Journée d’étude Paysage & identité, Ecole supérieur d’arts de Rueil-Malmaison, organisée par Roberto Barbanti,

Philippe Nys

  et Lorraine Verner

30 novembre – 1 décembre 2009, Colloque Sainte Face, visages du Christ, visages de Dieu dans l’art contemporain, XIXe-XXIe siècle, INHA, Paris, organisé par

Paul-Louis Rinuy

, EA 4010, AIAC, université Paris 8 & Isabelle Saint-Martin, Histara, EPHE

20 novembre 2009, Journée d’étude, La photographie mise en espace, la mise en espace de la photographie, MAC/VAL, Vitry-sur-Seine, organisée par

Michelle Debat

&

Paul-Louis Roubert

19 novembre 2009, Journée d'étude Préhistoire et art contemporain, salle Vasari, INHA, Paris, organisée par

François Jeune

10-11 novembre 2009, Colloque international Photographie & corps politiques, 10, Chili, Université de Santiago, Chili, organisé par

François Soulages

& Jaime Cordero

A partir du 2 novembre 2009, tous les 1° lundis du mois, séminaire mensuel La mort, le mort, la morte & la photographie, salle Vasari, INHA, Paris, organisé par

François Soulages

A partir du 20 octobre 2009, tous les mois, Café Philo Images & corps, Café du Pont-Neuf, 14, quai du Louvre, Paris, coorganisé par

François Soulages

, Patrick Knipper,

Vladimir Mitz

&

Rami Selinger

A partir du 16 octobre 2009, Séminaire Le portrait surréaliste dirigé par

Françoise Py

, Université Paris 3 Sorbonne nouvelle

À partir du 14 octobre 2009, un mercredi sur deux, Observatoire des nouveaux médias, cycle de conférences, à l’ENSAD, Amphi Rodin, 31 rue d’Ulm, Paris, http://www.arpla.fr/odnm/, organisé par

Jean-Louis Boissier

,

Manuela De Barros

,

Liliane Terrier

, Gwenola Wagon

14-20 octobre 2009, 40 ans de cinéma à Paris 8, Saint-Denis, coorganisé par Dominique Villain & Jean-Paul Aubert

Depuis octobre 2009, Images matérielles et images mentales, séminaire sur l’image organisé

Bernard Gerboud

25-6 septembre 2009, Colloque international Photography, Capitalism, Medias, 2, Artsonje, Séoul, Corée, coorganisé par

François Soulages

, Young-Jun Lee & Julien Verhaeghe

1-8 septembre 2009, Colloque International Architecture et littérature : une interaction en question, XXe-XXIe siècles, Centre Culturel International de Cerisy-la-Salle, organisé par

Antoine Leygonie

(co-organisation avec Pierre Hyppolite et Agnès Verlet)

26 juin 2009, Journée d'étude, Valeur(s) de l'art. Exposition, économie, usage, INHA, Paris, organisée par

la revue Marges.

15 juin 2009, Journée d’études Art et transmission : les secrets d’ateliers aux XXe et XXIe siècles, INHA, Paris, organisée par

Paul-Louis Rinuy

1-5 juin 2009, 6° colloque international d’esthétique de Bahia, Le sensible contemporain, Université fédérale de Bahia, Salvador, Brésil, dirigé par

François Soulages

28-29

mai, Séminaire Culture

et langue françaises, l’universel concret hégélien, Université de l’Etat de Bahia, Alagoinhas, Brésil, de

François Soulages

28 mai 2009, Journée d’étude Inventer-créer entre sciences et art, à l’ESPCI, organisée par

Daniel Danétis

19 mai 2009, Journée d'étude, Déplacement et mémoire, http://www.arpla.fr/canal20/ednm/,

coordination  par Jean-Louis

Boissier et Gwenola Wagon

11 mai 2009, Journée d’étude Photographie, médias & capitalisme, INHA, Paris, organisée par

François Soulages

3-4 avril 2009, Rencontres Architecture Musique Ecologie. Pour une écologie du sonore à l’occasion de la sortie du n° 3 de

la Revue Sonorités

, à La Villette, Paris, organisées par

Roberto Barbanti

30 mars 2009, Journée d’étude Sur la photographie contemporaine. A partir de

Marc Tamisier

, INHA, Paris, organisée par

François Soulages

24 mars 2009, Dialogue, INHA, Paris, entre Alain Kirili et

Paul-Louis Rinuy

2-6 février 2009, Workshop Mémoire, oubli et transmission, Centre de ressources audiovisuelles Bophana, Phnom Penh, Cambodge, sous la responsabilité de

Soko Phay-Vakalis

15-17 janvier 2009, Colloque international Les espaces déterritorialisés, à

la Société Française

des Architectes, Paris, organisé par

Antoine Leygonie

 

2 décembre 2008, Journée d'étude, Déplacements des pratiques artistiques, INHA, Paris, organisée par Jérôme Glicenstein

19, 26 novembre et 3 décembre 2008, Colloque & exposition, Formes de

la mobilité. Mobilisable

1, ENSAD, Paris, organisés par

Jean-Louis Boissier

,

Liliane Terrier

, Gwenola Wagon,  http://www.mobilisable.net/2008/

19 novembre 2008, 20° Dialogue, Tzvetan Todorov, la Mep, Paris, organisée par

François Soulages

3 & 4 novembre 2008, Colloque international, Portait anonyme, INHA, Paris, organisé par

Pascal Bonafoux

&

François Soulages

24 octobre 2008, Colloque, Indice et Index, la Mep, Paris, organisé par

Bernard Gerboud

20 octobre 2008, Journée d’étude, Etienne-Martin aujourd’hui, INHA, Paris, organisée par

Paul-Louis Rinuy

Depuis octobre 2008, un mercredi sur deux, Observatoire des nouveaux médias, cycle de conférences, à l’ENSAD, Amphi Rodin, 31, rue d’Ulm, Paris, organisé par

Jean-Louis Boissier

 

 

 

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Commentaires
G
Serait-il possible d'avoir des actes des colloques oiu toute trace de ces journées auxquelles je ne peux assister habitant La Réunion, en particulier l'intervention sur l''Écran, fable, substance'<br /> Par avance merci
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