Mon corps est un champ de bataille
Ne plus être une jeune fille convenue et conventionnelle, est un facteur de la nouvelle identification à a problématique du genre. Pourquoi le corps de la jeune fille doit-il être maigre, avenant, jolie et hétérosexuel ? Dans un essai , paru en 2004 à Lyon au éditions ma Colère, Mon corps est un champ de bataille, des jeunes femmes poilues, non épilées, "grosses", veulent se défaire de l’emprise du corps public, du corps à la mode et s’interroge sur l’existence pour la jeunesse d’un corps véritablement privée ? « Comment penser sereinement la transformation du corps, la maladie, le vieillesse, la sexualité quand nous sommes pétries d’interdits et de tabous , »[1].
L’esthétique émotionnelle, si elle est rivée de reconnaissance par le corps sociale, tend à remplacer pour la jeunesse anti-norme, une alternative moins esthtéique qu’ontologique : être bien dans sa peau plutôt que rentrer dans la peau de l’autre. Contre l’effacement ; le gommage, l'épilation...
[1] Mon corps est un champ de bataille, 2004, Lyon Ed. ma colère, p ; 18.